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Pourquoi les dossiers des mineurs ne sont-ils pas protégés ?
Si la réhabilitation est la mission fondatrice de la justice juvénile, alors la protection des dossiers juvéniles ne devrait-elle pas être la tâche la plus essentielle ? L’absence de protection des dossiers rend les mineurs susceptibles de récidiver, ainsi que d’éprouver des difficultés avec l’éducation et l’emploi. Bien que la probabilité que les mineurs aient une chance de véritable réhabilitation soit mince, il y a des implications qui peuvent directement résoudre le problème.
La réadaptation doit être l’objectif principal car les mineurs n’ont pas le luxe de choisir l’environnement dans lequel ils sont nés. Ainsi, il ne devrait y avoir aucune comparaison entre la délinquance juvénile et les casiers judiciaires pour adultes.
De plus, il est essentiel que les dossiers ne soient pas facilement accessibles sur Internet et que le public ne puisse pas avoir accès à la salle d’audience ou aux dossiers scellés. Tous les mineurs méritent une chance équitable de changer leur vie. Ainsi, un processus de protection des dossiers sans frais garantirait l’inclusivité, au lieu d’ajouter aux inégalités extrêmement abondantes déjà présentes au sein du système de justice pour mineurs. De même, tous les mineurs doivent être informés du processus de scellement et de radiation, et pas seulement quelques privilégiés en faveur des privilégiés. Vous êtes tous en faveur de continuer à honorer la pratique de l’inclusivité ? Toujours. Tous les jeunes, quelle que soit leur démographie, devraient être en mesure de naviguer dans ce processus de manière indépendante, et il ne devrait y avoir aucune limite quant à savoir quand et quand les crimes peuvent être effacés, car cela ne fait qu’encourager les disparités.
Si un individu ou une entité ose manifestement obtenir l’audace d’ignorer ces règles, les conséquences devraient s’ensuivre. Comme l’a dit Theodore Roosevelt, « Aucun homme n’est au-dessus de la loi et aucun homme n’est en dessous. »
Sincèrement,
Marshae Batchelor, étudiant MSW à Temple University
About Me
An English diarist and naval administrator. I served as administrator of the Royal Navy and Member of Parliament. I had no maritime experience, but I rose to be the Chief Secretary to the Admiralty under both King Charles II and King James II through patronage, diligence, and my talent for administration.
Bonheur d'organisation❣️ 
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